Colleges and Institutes Canada

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3 juin 2020

Répercussions de la COVID-19 sur les étudiants étrangers

Quand les effets de la propagation de la COVID-19 ont commencé à se faire sentir dans les campus de tout le Canada, nous avons cherché à nous assurer, dans notre travail de représentation, que les étudiants étrangers n’en seraient pas affectés pour des raisons indépendantes de leur volonté. En coordination avec d’autres intervenants canadiens, nous avons travaillé avec Immigration, Réfugiés et Citoyenneté Canada (IRCC) afin de voir à ce que le droit au travail et l’admissibilité au Programme de permis de travail post diplôme ne soient pas entravés par le passage à l’apprentissage à distance ou l’incapacité de poursuivre activement des études. La dispense de restrictions en matière de voyage pour les titulaires d’un permis d’études était une demande importante à cet effet et nous l’avons obtenue. Depuis les débuts de la crise, nous nous sommes appliqués à obtenir des réponses à vos questions les plus pressantes.

La concertation avec nos membres nous a permis de réaliser qu’il fallait encore plus de souplesse. Nous avons donc encouragé le ministère à permettre aux étudiants étrangers admissibles au Programme de permis de travail post diplôme de commencer leurs études de l’étranger. Le ministère a finalement accepté de modifier temporairement les modalités du programme afin que les titulaires du permis d’études puissent effectuer jusqu’à 50 % de sa durée (pour ceux devant commencer en mai ou en juin) de l’étranger. Grâce à d’autres recommandations émises par CICan et d’autres intervenants canadiens, cette modification temporaire a été étendue aux étudiants devant commencer leur programme à l’automne 2020. Sachant que cela risquait d’être difficile pour les étudiants ayant entrepris un programme court en 2020 d’en effectuer la moitié au Canada, nous demandons à présent à ce que la modification temporaire s’applique à la durée totale des études, plutôt que sur la durée du programme entrepris et que les établissements soient autorisés à permettre aux étudiants d’interrompre momentanément leurs études s’ils ne sont pas en mesure de se déplacer pour faire leurs études cet automne.

S’il est vrai que ces adaptations ont permis au Canada de rester concurrentiel à l’échelle mondiale au chapitre de l’accueil des étudiants étrangers, il lui reste encore bien des défis à relever, notamment en ce qui concerne la capacité d’IRCC à traiter les demandes et celle pour les étudiants de soumettre un dossier de demande complet. Nous continuons à recommander qu’en l’absence de données biométriques, les permis d’études soient traités et approuvés sous condition, et que les tests linguistiques en ligne soient acceptés, à titre d’essai, par le biais du Volet direct pour les études. Sachant que pour être admissible au Programme de permis de travail post diplôme, il faut détenir un permis d’études pour la période passée à étudier à l’étranger, nous poursuivons notre travail auprès de nos membres afin de nous faire une meilleure idée du volume des demandes de permis auquel nous pouvons nous attendre et continuons nos démarches auprès du ministère pour nous assurer qu’il a la capacité de traiter ce volume.

À la fin du mois d’avril, nos établissements membres nous ont indiqué que les demandes d’inscriptions pour l’automne étaient en baisse de 33 % en moyenne. En date du 15 mai, 43 d’entre eux disaient avoir émis près de 95 000 lettres d’entente pour l’automne et qu’environ 56 000 d’entre elles avaient été acceptées. Si on se base sur les tendances enregistrées par le passé, nous estimons à un total de 165 500 le nombre d’étudiants étrangers qui pourraient avoir commencé leurs études dans un collège ou un institut canadien au cours de l’année 2020, et environ 90 000 à l’automne. Malgré les contretemps rencontrés, les programmes d’études dans les collèges et instituts canadiens continuent de susciter un attrait pour les étudiants étrangers. Nous travaillons donc activement avec IRCC pour que de solides plans de reprise des affaires soient en place pour permettre de traiter un volume important de demandes, de façon générale, mais surtout dans des pays comme l’Inde, la France et dans l’ensemble du continent africain.

ien que les restrictions de voyage soient toujours en vigueur, nous travaillons avec les responsables gouvernementaux de haut niveau ainsi que les intervenants des provinces et territoires et les intervenants opérant à l’échelle du pays, à la conception d’un cadre stratégique précisant les rôles et responsabilités des étudiants et des établissements de sorte à favoriser le retour des étudiants étrangers au Canada dans le respect des directives de santé publique.

Le point sur le Programme pilote de mobilité étudiante vers l’étranger

Collèges et instituts Canada et Universités Canada ont travaillé en étroite collaboration avec Emploi et Développement social Canada (EDSC) à la conception du nouveau Programme pilote de mobilité étudiante vers l’étranger. Les deux organisations étaient prêtes à le lancer au printemps 2020 par la publication d’une demande de propositions. Ce lancement a été retardé en raison de la pandémie et l’on attend actuellement que le ministère approuve l’allocation de fonds pour la mise en œuvre du programme. Tandis que le gouvernement étudie la voie à suivre pour traverser la crise, il nous a assuré que ce programme pilote de mobilité étudiante vers l’étranger demeure une priorité majeure.

Les deux associations, qui ont suivi de près l’évolution de la situation, ont toutes deux mené des consultations auprès de leur membres respectifs en mai. Il s’agissait pour chacune d’elle d’évaluer les répercussions de la pandémie sur les programmes d’études et de travail à l’étranger pour leurs établissements, à tenir compte de ses implications sur l’ampleur des programmes et leurs cibles, et à faire une mise en commun des principaux aspects à prendre en considération.

Nous avons recommandé au gouvernement fédéral d’intégrer le programme pilote de mobilité étudiante vers l’étranger aux mesures visant à favoriser la relance économique du pays. Nous avons aussi souligné le fait que si le financement en était rapidement confirmé, les établissements d’enseignement pourraient s’organiser de sorte à avoir les ressources et la programmation nécessaires en place pour outiller les Canadiens des compétences requises pour garantir le succès de la reprise.

Les deux associations estiment que, compte tenu du niveau d’incertitude élevé qui règne actuellement quant à la façon dont la pandémie va continuer d’affecter la mobilité mondiale, un déploiement par étape serait probablement le plus sûr moyen de lancer ce programme pilote. Cela permettrait de tenir compte de la période nécessaire à la reprise à l’échelle mondiale, de l’adaptation à la nouvelle réalité et du retour à la stabilité. Son déroulement pourrait se présenter comme :

  • Phase I – Reprise et adaptation la nouvelle réalité (de 2020 à 2021): Cette phase serait centrée sur la conception d’un programme de qualité à l’échelle des établissements dans le but d’adapter leurs services et de renforcer leur capacité à offrir un milieu d’études et de travail à l’étranger sécuritaire. Elle comprendrait les activités suivantes : conception et mise en œuvre d’approches novatrices, renforcement des partenariats au Canada et à l’étranger, ajustement des services de soutien global à la nouvelle réalité, augmentation de la visibilité du programme sur le campus, et offre aux étudiants d’expériences virtuelles de mobilité favorables à l’établissement de relations à l’international et à l’acquisition de compétences interculturelles.
  • Phase II – Réengagement (de 2021 à 2022) : Cette phase serait celle d’un retour progressif à la mobilité physique. Elle donnerait lieu à des activités dans les pays de destination traditionnels et la participation de groupes traditionnels d’étudiants. Cela pourrait aussi être l’occasion d’étudier d’autres types de mobilité, telle que la mobilité interne. Compte tenu des restrictions de voyage actuelles et des préoccupations liées à la sécurité, ce type de mobilité pourrait être une solution de rechange pour atteindre les objectifs du programme concernant le soutien aux étudiants sous représentés, le développement de compétences interculturelles et le renfort des compétences en milieu travail.
  • Phase III – Mise en œuvre (de 2022 à 2025) : Durant cette phase, le programme serait mis en œuvre au complet, en recentrant l’attention sur des pays de destination non traditionnels. Pour atteindre les cibles et objectifs initiaux du programme, il faudrait que la date d’achèvement du programme, initialement prévue en mars 2024, soit prolongée d’au moins un an.

Nous avons l’intention de lancer notre première demande de propositions à l’automne 2020, ce qui permettrait à une première cohorte d’étudiants boursiers de se rendre à l’étranger au printemps 2021, ou plus tôt le cas échéant. Nous vous tiendrons au courant de toute nouvelle annonce à ce sujet.

Projets de coopération internationale

Pour les projets Éducation pour l’emploi (EPE), CICan consulte les partenaires locaux et les collèges canadiens afin de les soutenir dans ce contexte de pandémie et s’assurer d’atteindre les résultats et les livrables prévus avec flexibilité et créativité.

De plus, nous travaillons de concert avec AMC pour permettre une plus grande flexibilité dans la mise en œuvre des projets en cours et même, dans certains cas, revoir les activités pour atteindre les résultats, mais aussi, pour répondre au post-COVID.

L’équipe voudrait remercier tous les collèges et instituts qui participent aux projets EPE pour leur support et leur disponibilité des dernières semaines pour répondre à nos questions et participer aux nombreuses réunions.  De plus, nous voulons souligner votre flexibilité à ajuster vos activités, vos rapports et vos plans du travail afin de refléter la nouvelle réalité causée par cette pandémie.

Sénégal — ESP-EPE

Le programme ESP-EPE travaille de concert avec le MEFPA pour assurer la continuité pédagogique et didactique, appuyer la numérisation des processus administratifs et soutenir la réalisation des activités ciblées au plan d’action pour le développement de la plateforme  e-jang platform 

Afin de valoriser le travail réalisé par nos membres au sein du projet ESP-EPE et les retombées de celui-ci au Sénégal, cinq capsules vidéo ont été réalisées en janvier dernier. Elles présentent certains résultats du projet à travers le point de vue des bénéficiaires sur des thèmes comme : la place des filles en FPT, les relations avec les entreprises, l’employabilité des jeunes et l’approche partenariale EPE de CICan. Les vidéos sont disponibles sur le canal YouTube du projet (https://www.youtube.com/channel/UCbjvoFfhLVBUQ0Eg7F_hQXg/videos?) et ont été diffusées sur les réseaux sociaux générant plus de 750 000 visionnements et près de 25 000 clics et interactions.

Nouveau programme à venir

Négociation en cours avec AMC pour un nouvel accord de contribution pour le projet « Mille femmes : je suis Femme, j’Existe, je Participe » au Sénégal.  Un projet de 18 millions de dollars pour les cinq prochaines années qui sera réalisé avec notre partenaire de longue date, le MEFPA.

Tunisie

Collèges et Instituts Canada (CICan) est heureux d’annoncer les collèges gagnants suite à l’appel de propositions de partenariats institutionnels dans le cadre du programme ÉPE Tunisie Al-Najah, projet d’une durée de 4ans, financé par AMC.  Cette deuxième vague de trois appels à propositions portait sur des programmes de licences co-construites selon l’Approche par compétences, programmes de formation de courte durée, formation technique et pédagogique des enseignant(e)s, entrepreneuriat et partenariats institut/entreprises:

  • Sidi Bouzid B-03:Collège de Maisonneuve (Spécialisation en Transformation des aliments)
  • Tozeur B-04: Cégep de Jonquière (Spécialisation en Énergies renouvelables)
  • Médenine B-06: Collège Boréal, en consortium avec le Cégep de Jonquière (Spécialisation en Énergies renouvelables)

Vous pouvez encore saisir l’occasion de collaborer au projet ÉPE Tunisie Al-Najah. Nous allons lancer au mois d’août prochain les deux derniers appels à propositions pour des partenariats stratégiques en employabilité des femmes et entrepreneuriat au féminin de même qu’en formation pédagogique pour le réseau des ISET.

Alliance du Pacifique

Le Programme EPE-AP a le plaisir de vous partager le rapport du forum « Communautés autochtones, EPE et relations avec le secteur extractif (SE) », la vidéo de l’évènement et les témoignages des participants. Ces outils recueillent des exemples de politiques et bonnes pratiques qui pourraient contribuer au renforcement du dialogue entre le SE et les communautés autochtones. Des versions du rapport en anglais et en français seront disponibles dans les prochaines semaines. Pour plus d’informations, veuillez consulter la 4e édition de notre bulletin d’information.

Brésil

En lumière de la situation entourant la COVID, le programme de formation destiné aux enseignants brésiliens de formation de base a été reporté à 2021.  Environ 102 enseignants brésiliens viendront au Canada pour de la formation professionnelle et améliorer leur anglais en mai et juin 2021.  Ils étudieront au Fanshawe College et au Niagara College.

La jeunesse africaine au travail – Kenya (YAW-K-TVET)

La COVID-19 au Kenya : le comité d’intervention d’urgence du pays a dirigé les démarches visant la cessation des activités et la fermeture des commerces et autres jusqu’au 6 juin. Le personnel de CICan travaille à distance. Les jeunes continuent d’être affectés de façon disproportionnée par la pandémie. En ce qui a trait aux partenariats thématiques, CICan a fini ses entretiens auprès de la Technical and Vocational Education and Training Authority (TVETA), du Curriculum Development Assessment/Certification Council (CDACC), de la Kenya National Qualifications Authority (KNAQ) et du ministère de l’Éducation en vue de la sélection de collèges canadiens susceptibles de devenir des partenaires thématiques (audit des lacunes des programmes, formation initiale et continue; élaboration de lignes directrices et d’outils d’évaluation de reconnaissance des acquis). La liste des collèges retenus sera annoncée début juin.

Programme Éducation pour l’emploi du Kenya (EPEK) / Le CRDI soutient l’innovation dans le secteur de l’enseignement technique et professionnel

Le programme ÉPEK a dû faire l’objet d’ajustements en raison de la COVID-19. Les établissements membres de CICan qui y participent et leurs partenaires kényans continuent de se concerter et d’étudier les moyens de collaborer durant la pandémie, y compris par le biais d’un sondage. En dépit des retards de livraison, l’essentiel de l’équipement est arrivé au pays. Du fait de la fermeture des campus, cet équipement reste pour le moment en grande partie dans des conteneurs. Les dix-neuf nouveaux cours proposés ont été approuvés et leur lancement aura lieu en septembre 2020 ou janvier 2021.

Programme d’amélioration de la formation axée sur les compétences pour l’emploi (PAFACE) en Tanzanie

Quelques-uns des partenariats noués par CICan avec des organismes locaux dans le cadre de ce programme ont été prolongés afin que les activités entreprises puissent aboutir.  CICan mène actuellement des démarches auprès d’Affaires mondiales Canada pour savoir s’il serait possible de les prolonger jusqu’à décembre 2020 : les établissements tanzaniens pourraient ainsi utiliser les fonds inutilisés pour offrir à leurs étudiants et à leur personnel un milieu d’études et de travail sécuritaire.

Programme Compétences pour accéder à l’économie verte (CAEV) dans les Caraïbes

Des séances d’orientation destinées aux partenaires institutionnels ont eu lieu à Sainte-Lucie. Elles avaient pour but de les guider dans la préparation de plans.  Les membres de l’équipe du CAEV basés à Ottawa ont participé à cinq missions de démarrage. Les contrats seront tous signés en juin. Par ailleurs, l’équipe a organisé six réunions à distance du comité directeur dans les différents pays ciblés par le projet: parmi ses membres figurent des représentants de conseils d’EFTP, d’associations patronales, de ministères de l’Éducation et du Travail, de l’Institut interaméricain de coopération pour l’agriculture et d’établissements d’enseignement partenaires de la région. Les plans de travail ont tous été approuvés. Par ailleurs, une réunion du comité directeur du CAEV a eu lieu. Celui-ci se compose de représentant de la Caribbean Employers Association (CEA), de la Caribbean Industry & Commerce, du Caribbean Community Climate Change Centre (CCCCC), d’Affaires mondiales Canada et de conseils d’EFTP, de ministères du Travail, du Council of Community Colleges of Jamaica (CCCJ) et d’établissements partenaires.

L’ébauche du rapport des résultats de la première année et celle du rapport des résultats de la seconde année ont été approuvées. L’équipe finalise actuellement son rapport sur les résultats d’apprentissage du programme qui servira de base pour la suite du programme. Un premier webinaire sur l’égalité des sexes a eu lieu le 24 juin. Les coordonnateurs du soutien aux pays participants ont apporté une aide considérable, notamment par la publication de liens sur Twitter et Facebook au sujet du changement climatique. Les partenaires de la région ont pris part au webinaire sur les pratiques exemplaires d’apprentissage en ligne offert par l’organisme Global Women in Education. Enfin, l’équipe du CAEV souhaite la bienvenue à Carlos Canales, nouvel agent principal du programme.

Dernières nouvelles au chapitre du développement de partenariats

Pour faire face à la pandémie, CICan a cherché des moyens d’adapter sa programmation à l’échelle internationale.

  • Recherche : les changements soudains qu’a suscités la pandémie auront des répercussions importantes sur nos partenaires étrangers et dans nos propres établissements. En quoi la COVID affecte-t-elle la capacité de CICan et de ses membres à diriger des activités à l’échelle internationale et comment pouvons-nous nous adapter ? Quel est l’impact de la pandémie sur les instructeurs et les apprenants de nos pays partenaires et comment nos partenaires gouvernementaux réagissent-ils ? Comment CICan et ses membres peuvent-ils continuer à apporter un soutien notable à leurs partenaires étrangers dans ce nouveau contexte ? CICan cherche actuellement un moyen de formuler un sujet de recherche appropriée sur la question et à établir des plans pour les mois à venir.
  • Système de gestion de l’apprentissage : du fait du choc créé par la pandémie, les plans d’études d’un système de gestion de l’apprentissage en vue de favoriser les partenariats internationaux ont été accélérés. CICan est en discussion avec la firme D2L concernant leur plate-forme Brightspace qui pourrait servir à favoriser le passage inévitable de certaines activités à l’étranger en activités d’apprentissage à distance. Nous vous tiendrons au courant de l’avancée de ces démarches auprès de la firme.

Côte d’Ivoire

Le gouvernement ivoirien a contacté CICan afin que celui-ci apporte le soutien de l’association et de ses membres pour le développement et la réforme de son système national d’EFTP. Le secrétaire d’État chargé de l’enseignement ivoirien a présenté sa vision d’une collaboration potentielle et des discussions ont cours concernant la taille et l’envergure d’un partenariat éventuel.

Amérique latine

CICan est en pourparlers avec Affaires mondiales Canada au sujet de la conception de projets distincts au Pérou et en Colombie. S’il est vrai qu’en ce moment le ministère se préoccupe surtout d’apporter son soutien à ces pays dans la lutte contre la COVID-19, il existe des possibilités d’exploitation du savoir-faire des collèges canadiens dans le secteur de la santé et d’autres secteurs qui continuent d’avoir besoin d’aide.

Géorgie

Après une mission d’exploration tenue en Géorgie en 2019, le sous ministre de l’Éducation, des Sciences, de la Culture et des Sports de ce pays a recommandé à la Banque mondiale de choisir CICan comme partenaire possible d’un projet d’EFTP mené par la banque mondiale et pour la formation des instructeurs. CICan a pour sa part jugé qu’il serait préférable que ce soit un collège ou un consortium de collèges qui propose sa candidature et a donc diffusé l’information à ce sujet à la liste pertinente « Opportunités d’affaires ». Si cela vous intéresse de recevoir à l’occasion des annonces de possibilités de services de consultation à l’échelle internationale, veuillez nous adresser à Camille Khoury pour inclure votre adresse courriel à la liste.

Varia

L’Organisation universitaire interaméricaine (OUI), partenaire de CICan, offre une alternative aux modèles traditionnels de mobilité étudiante via son nouvel espace eMovies qui donne aux étudiants de l’enseignement supérieur, l’opportunité de suivre à distance des cours offerts par d’autres institutions et pour lesquels ils pourront, dans le respect des conditions, obtenir des crédits. Les offres d’échanges concernent actuellement l’Argentine, le Chili, la Colombie, le Mexique et le Pérou. Pour obtenir plus d’information, veuillez consulter : eMovies.

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